• Vendredi 19 mai 2006, séance cinéma pour Didier et moi. Au programme, ce film que j'avais envie de voir pour les deux acteurs et la bande annonce accrocheuse. Il s'agit, en fait, d'une comédie romantique qui se passe à Cannes dans le monde des palaces qui, selon le film, regorge de rapaces et de victimes potentielles. Les deux acteurs sont formidables comme d'habitude. Isabelle Carré est fraîche et pimpante et José Garcia charmeur mais énervant. On n'arrive, d'ailleurs, pas à croire qu'elle fait tout cela pour tomber dans ses bras. Bonne petite comédie tranquille et agréable. +++

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  • J'avais acheté les places pour ce concert du 17 mai 2006 avant le mini-raz de marée Anaïs commencée aux dernières Victoires de la musique. Emmanuel et moi y sommes donc allés pendant que d'autres regardaient la finale de la Ligue des Champions. D'entrée, les conditions idéales n'étaient pas remplies. La salle était surpeuplée (recherche d'une rentabilité maximale au point de manquer de respect aux gens qui achètent leurs billets ?) d'où poteaux et têtes gênants, promiscuité avec des gens ne trouvant pas de place debout convenable pour regarder le "Cheap Show", et bien-sûr la chaleur intense... On en est sorti lessivés. Pourtant, Anaïs s'en est très bien sortie, même s'il y avait peut-être un problème avec le son car je n'ai pas toujours compris toutes les paroles. Elle sait manier l'humour notamment au travers de références à des chanteuses comme Carla Bruni, Camille ou Céline Dion. En tant que chanteuse de scène, j'espérais toutefois d'elle plus de chansons inédites, même si c'était un réel plaisir d'entendre "Mon coeur, mon amour" ou "Elle sort qu'avec des blacks". De plus son concert a été court (1h15) et les deux premières parties un peu longuettes. Bref, je m'attendais à mieux. Mon manque de confort en a été en grande partie responsable. En tout cas, écoutez son CD, il vaut le détour. ++


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  • Samedi 6 mai 2006, Nous avons visité ce site très interessant à Doué la Fontaine. Une jeune femme rigolote nous a fait une visite guidée des galeries souterraines de falun, pierre calcaire friable très présente en Anjou et en Touraine. Ces souterrains, très nombreux à Doué, ont été creusés depuis des siècles par les habitants qui les occupaient pour diverses raisons. Le site troglodytique de la Sablière abritait d'ailleurs un couple au 20ème siècle qui y vivait et y travaillait l'extraction du falun. On visite leur habitation sommaire ainsi que différentes salles, dont une cave à vin qui faisait office de bar. On y découvre aussi des sculptures de falun et des fossiles de coquillages abondants dans la pierre. Maintenant, la Sablière est une distillerie artisanale d'eau de rose avec son ancien alambic chauffé au feu de bois. La visite se termine par le petit magasin qui vend sa propre production d'eaux de rose et de bleuet et autres produits dérivés (beauté, santé, senteurs ...). Rappelons que Doué la Fontaine est le premier producteur de rosiers d'Europe. 16, rue Petite Riffaudière - 49700 Doué la Fontaine. +++

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  • Delphine m'a emmené dans ce petit restaurant d'Angers. Nous avons été reçus par deux jeunes femmes très soucieuses de l'accueil dans un cadre propret. Elles nous ont présenté un menu à 28 euros avec des plats aux noms recherchés. Ce n'est pas donné surtout avec une carte des vins qui a rallongé la note de façon non négligeable. Mais bon, la qualité est là. Une belle présentation dans de belles assiettes, des plats fins et originaux style "nouvelle cuisine". c'est vrai qu'on n'est étouffé par la quantité mais d'où le plaisir de prendre son temps pour savourer ce qu'on a dans son assiette. A conseiller aux gourmets qui ont les moyens. 40, rue David d'Angers - 49100 Angers. +++

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  • Vendredi 12 mai 2006, Didier et moi, portés par un bon bouche à oreille, sommes allés au cinéma voir cette production québécoise. Je ne savais pas trop ce que j'allais voir, en fait. Je m'attendais à une pure comédie. et même si le film est vraiment très drôle (la scène entre les parents dans la salle de bain est, à ce titre, d'anthologie), il est plus que cela. Il est plein d'émotions et filmé de manière brillante. On suit de sa naissance en 1960 au début des années 80, le parcours d'un jeune québécois à l'homosexualité non assumée, au sein d'une famille haute en couleurs. J'ai adoré l'ambiance seventies d'une partie du film et tout particulièrement la scène où le jeune homme se prend pour David Bowie. La BO entre Charles Aznavour et Pink Floyd est extra. ++++

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